Simone Rubino a toujours voulu “jouer” – avec tout ce qu’il trouva : dans la cuisine de sa mère tout d’abord, où il se plaisait à produire toutes sortes de sons avec des casseroles, saladiers, verres, cuillère en bois… puis avec une clarinette, et finalement avec la percussion, “instrument-orchestre” qui lui permit d’explorer à la fois le rythme, la mélodie et la sonorité.
Remportant en 2014 le prestigieux ARD de Munich, et en 2016 les Young Artist Awards, Simone Rubino a fait l’affiche de nombreux festivals (Echternach, Schwetzingen, Rheingau, Ingolstadt, Würzburg, Musikfest de Brême (qui lui a décerné le Förderpreis Deutschlandfunk)…
Il a joué aux côtés de l’Orchestre Philharmonique de Vienne au Festival de Lucerne (concerto de Tan Dun dirigé par Tugan Sokhiev), de l’Orchestre Symphonique de Berlin, de l’Orchestre dell’ Academia Nazionale di Santa Ceciia de Rome (concerto de Mac Millan dirigé par Manfred Honeck), de l’Orchestre de la NDR à Hambourg…
Récemment, il a aussi fait ses grands débuts au Carnegie Hall de New York, au Bozar de Bruxelles et aussi à Baden-Baden. Au cours de cette même année 2017, Simone Rubino s’est aussi produit à La Folle Journée de Tokyo et très récemment, il a interprété le concerto de Cerha sous la direction de Zubin Mehta avec l’Orchestra del Maggio Musicale à Florence et il jouera très prochainement à Munich sous la direction de Gustavo Gimeno (concerto de Sofia Gubaidulina) ainsi qu’ au Festival de la Grange de Meslay dans un programme consacré à J.S. Bach.